
En Algérie c’est la rage qui anime, car le Maroc marque des succès diplomatiques dans cette affaire. La volonté de la communauté internationale, et à travers elle les membres du conseil de sécurité, est irréversible, combien même l’agence de presse algérienne s’efforcerait à manipuler son opinion et l’opinion internationale, « la vérité vaincra ». On ne saurait mieux souligner que la résolution 1871, voté à l’unanimité par les membres du conseil de sécurité, apporta un démenti cinglant à la propagande algérienne sur les prétendues violations des droits de l’homme au Sahara par le Maroc et leur instrumentalisation.
Les tentatives et les pressions exercées pour conférer à la MINURSO les attributions de gardien des droits de l’homme n’ont pas abouti. L’absence dans la résolution 1871, qui confirme l’option marocaine de toute référence à la question des droits de l’homme pourtant, érigé en cheval de bataille dans la campagne de l’Algérie et du Polisario, est plus qu’un échec. La résolution insiste sur la dimension humaine du conflit, une brèche permettant au Maroc de réitérer ses demandes au HCR, de recenser et identifier les séquestrés de Tindouf.
Chef d’orchestre de l’intox et de la perversion, les médias officiels algériens sont passés outre l’obligation de réserve et le respect de la déontologie, en faisant usage de faux dans l’interprétation des décisions du conseil de sécurité, organe de l’ONU représentative de la communauté internationale.
Chef d’orchestre de l’intox et de la perversion, les médias officiels algériens sont passés outre l’obligation de réserve et le respect de la déontologie, en faisant usage de faux dans l’interprétation des décisions du conseil de sécurité, organe de l’ONU représentative de la communauté internationale.