Le courage de Mustapha Salma synonyme de décrépitude de la politique d’endoctrinement du Polisario

Des stratagèmes qui s’écroulent comme des châteaux de cartes, avec le retour massif des Sahraouis longtemps séquestrés dans les camps de Tindouf, comme dans un centre de concentration nazi ou une prison à ciel ouvert. Les têtes pensantes et les mercenaires du Polisario ne savent plus où donner de la tête. Leurs mensonges, leur propagande et leurs subterfuges ne tiennent plus debout avec les nouvelles technologies de la communication (téléphones portables, chaînes de TV satellitaires, Internet). Ils doivent revoir leur politique d’endoctrinement et d’isolement qu’ils pratiquaient dans les années 70, 80 et début 90, dans les camps de Tindouf à l’insu de la communauté internationale et des médias. Les jeunes Sahraouis même quadrillés à plein temps dans ces camps, trouvent aujourd’hui, le moyen de s’informer et de communiquer avec le monde extérieur. Donc, plus rien ne se cache dans les camps, malgré la volonté, la détermination et les moyens de répression auxquels ont recours les milices armées du Polisario avec le conseil et le soutien matériel, financier et humain des autorités algériennes. Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, qui appartient à cette génération de jeunes sahraouis endoctrinée systématiquement par le Polisario pour nuire à sa patrie, a administré, selon Driss Lachgar, ministre marocain, chargé des relations avec le Parlement, la preuve par son comportement patriotique, de l’inanité de la propagande mensongère des séparatistes. Ould Sidi Mouloud vient d’être kidnappé une deuxième fois, après le premier rapt dont il a été victime à son enfance, lorsqu’il a été emmené de force dans les camps de Tindouf, puis envoyé à l’étranger pour une formation spéciale, à l’instar d’autres jeunes de sa génération, a dit Lachgar lors de l’émission “Hiwar” diffusée mardi soir par la chaîne “Al Oula”. Mais, Ould Sidi Mouloud s’est vite rendu compte qu’il était victime comme les milliers d’autres Sahraouis de Tindouf, en se allant à Smara, sa ville natale et dans les villes voisines du sud, où il a pu s’exprimer et se déplacer librement et contacter ses proches et les membres de sa tribu. Il a aussi pu constater de visu le développement économique et la prospérité que connaissent le Maroc et particulièrement ses provinces du Sud. Lachgar a par ailleurs, critiqué certaines organisations qui disaient défendre les droits de l’homme et les libertés d’expression des Sahraouis, mais qui se positionnent aujourd’hui dans l’expectative, alors que le droit d’un citoyen Sahraoui, en l’occurrence Mustapha Salma, d’exprimer ses choix et ses convictions est violé et confisqué de manière éhontée. Sommes-nous devant les signes précurseurs d’un éclatement irréversible d’une entité fantoche créée de toutes pièces, par des régimes aux ambitions hégémoniques avérées ?

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