Alors que les preuves d’esclavagisme s’accumulent, le Polisario tente de gagner du temps.

Depuis plusieurs semaines c’est une formidable accélération de l’histoire à laquelle l’on assiste, avec l’émergence de preuves indiscutables attestant de pratiques esclavagistes par la Guérilla Marxiste-Léniniste du Front Polisario.
En effet, il ya deux semaines un site Internet révélait que des vidéos d’esclavage au sein des camps administrés par la Guérilla au Sud-Ouest de l’Algérie avaient été mis en ligne sur « youtube », puis retirés suite à des pressions algériennes. Gêné par ces images, le Front Polisario a tenté, en vain, de faire croire à une entreprise de désinformation marocaine, utilisant la tactique éculée qui consiste à rejeter ses fautes sur l’autre, faute de pouvoir apporter une argumentation rationnelle pour expliquer des faits clairement condamnés par les Nations Unies. Alors que des bruits se font de plus en plus clairs quand à la constitution d’une commission d’enquête internationale, des voix au sein du Front Polisario se sont d’ores et déjà élevées pour affirmer que les commissaires politiques du front et les gardiens de la doctrine révolutionnaire « rejetteraient » ce qu’ils considèrent comme une « intrusion étrangère ».

Ce rejet de principe de la visite d’une commission d’enquête indépendante a de quoi intriguer même les plus sceptiques quand à ce qui se passe au sein des camps.

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