Droits de l’Homme et Polisario: Soleil “Noir” de l’ignominie

Depuis la création de la République Arabe Sahraouie Démocratique et l'installation des camps dans la région de Tindouf, à la fin de l'année 1975, les atteintes aux Droits de l'Homme par les responsables sahraouis n'ont jamais cessé.
La classe dirigeante a toujours perpétrées des violations à l’encontre des familles parquées dans ces camps, situés dans un territoire désertique et inhospitalier du sud algérien.
la position géographique défavorable de ces campements, le contrôle systématique exercé par l'appareil sécuritaire du Polisario au même titre que le contrôle des accès à la zone des camps par l'armée algérienne, et l'impossibilité pour des observateurs étrangers et indépendants d'effectuer in situ un travail d'enquête impartial, font que les habitants des camps de Tindouf, en majorité des enfants, femmes et vieillards vivent, depuis 30 ans dans des conditions inhumaines, imposées par les directions algériennes et Polisarienne.
 Elles vont du phénomène originel de la séquestration, à la déportation des enfants sahraouis à Cuba, en passant par les différentes vagues de répression des soulèvements populaires dans les camps et les pratiques de torture et d'enlèvement d'opposants à la ligne de conduite du Polisario.
Il est temps pour la majorité silencieuse d’adopter une position politique ferme pour essayer de changer cette donne politique et prendre son destin en main.

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